Bon, tant qu’à bloguer et vous raconter des tranches de vie, aussi bien TOUT vous dire!
Je fais de l’échangisme depuis six ans. Ça m’a pris deux ans à convaincre Chéri. Il avait des doutes. Trouvait que ce pouvait être complexe. Se posait des questions: comment trouver des gens avec qui nous allions bien nous entendre et les laisser entrer dans notre intimité? Pour ma part, j’angoissais presque à l’idée d’imaginer un étranger et sa conjointe dans mes draps.
Mais, en même temps, l’attrait de la nouveauté, les souvenirs inoubliables…je me disais que ce serait une bonne idée et une belle continuité pour combler notre passion!
Oseriez-vous?
Oseriez-vous échanger? Oui, je sais, il y a des réticences. C’est notre intimité après tout! Mais, je vous garantis que lorsque vous passez par-dessus vos préjugés et que vous vous informez, vous trouverez cela facile!
Une maison est une maison après tout.
Vous me suivez là, n’est-ce pas? 😉 Je vous parle d’échanger son chez-soi! (hi hi #titecomiquelamadame).
*Voici ma chronique: L’échange de maison 101 sur le sujet à Vtélé, pour l’émission TRUCS ET CIE avec Josée Turmel et Alain Dumas ce samedi 21 mars à 9:00.
PLUS D’INFOS PAR ICI:
Mon billet: Échanger foire aux questions.
Mon billet: Échanger sa vie!
Une entrevue accordée à La Presse sur le sujet: Vive l’échangisme!
Signé,
Maman Globe-trotteuse

wow Caro! Savoures chaque minute de ce succès entièrement mérité! Tu es magnifique 🙂
Merci Marie-Ève!
Nous pratiquons l’échangisme…. de maison (et auto) depuis 4 ans et nous adorons. Autour de nous, très peu comprenne que nous acceptions que des étrangers viennent chez nous mais il ne faut pas oublier que nous aussi nous entrons dans leur intimité. Nous prenons maintenant le temps de découvrir une destination en profondeur, on découvre la vie sociale d’un village où nous sommes souvent les seuls « touristes »… bref, on vit comme les locaux et on adore ça !
Oui, c’est vrai merci Karol, il faut préciser que l’auto peut aussi être échangé…Oui, c’est vrai que moi et ma famille adorons être les seuls touristes du village et se faire dire: « Ah, des Québécois, bienvenue par ici! »