Le monde est petit: un Masaï me l’a appris

Le soir, au coin de l’éternel feu de camp qui sert davantage à effrayer les prédateurs qu’à faire cuire des guimauves (vous vous en doutiez), James est fier comme toujours, enroulé dans sa traditionnelle couverture rouge de laine qui caractérise les Masaï.

Réservé, je sens qu’il veut m’adresser une question : (je traduis, il s’exprime en swahili et en anglais).